Ôtez cette abaya que je vous voie… » : ironie numérique et réception sociale d’une interdiction

« انزعوا تلك العباءة لأراكم… » : السخرية الرقمية وتلقي المجتمع لقرار الحظر

“Take Off That Abaya So I Can See You…” : Digital Irony and the Social Reception of a Ban

Rima Aida Hassani

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بحث إلكتروني

Rima Aida Hassani, « Ôtez cette abaya que je vous voie… » : ironie numérique et réception sociale d’une interdiction », Aleph [على الإنترنت], نشر في الإنترنت 16 avril 2025, تاريخ الاطلاع 21 avril 2025. URL : https://aleph.edinum.org/14276

Résumé
L’humour numérique joue un rôle croissant dans la communication en ligne, oscillant entre divertissement et critique sociale. Cet article examine la manière dont l’humour est mobilisé sur les réseaux sociaux pour commenter et critiquer l’interdiction du port de l’abaya à l’école en France. À partir d’un corpus de 30 vidéos humoristiques (reels) diffusées sur Facebook, nous avons adopté une approche interdisciplinaire combinant analyse sémio-pragmatique, socio-linguistique et analyse du discours numérique.
L’étude met en évidence deux registres dominants :
L’humour ludique, qui vise à alléger la tension sociale et à favoriser la connivence entre internautes.
L’humour critique, qui détourne le discours officiel pour dénoncer les contradictions perçues dans l’application de la loi.
Les résultats montrent que les procédés discursifs les plus récurrents incluent l’ironie contextuelle, la caricature des figures d’autorité, et le détournement médiatique. L’analyse des réactions des internautes révèle une réception plurielle : entre adhésion humoristique, identification militante et contestation du recours à l’humour dans un débat sérieux.
Ces observations confirment que l’humour numérique dépasse la seule fonction ludique pour devenir un espace de débat participatif et d’engagement social.

تلعب الفكاهة الرقمية دورًا متزايدًا في التواصل عبر الإنترنت، حيث تتأرجح بين الترفيه والنقد الاجتماعي. تهدف هذه الدراسة إلى تحليل كيفية استخدام الفكاهة في مواقع التواصل الاجتماعي للتعليق على حظر ارتداء العباءة في المدارس الفرنسية وانتقاده. استنادًا إلى عينة من 30 مقطع فيديو فكاهي (reels) منشور على منصة فيسبوك، اعتمدت الدراسة نهجًا متعدد التخصصات يجمع بين التحليل السيميائي-البراغماتي، وعلم اللغة الاجتماعي، وتحليل الخطاب الرقمي.

تكشف الدراسة عن نمطين رئيسيين في توظيف الفكاهة :

الفكاهة الترفيهية، التي تهدف إلى تخفيف التوتر الاجتماعي وتعزيز التقارب بين المستخدمين.

الفكاهة النقدية، التي تعيد توظيف الخطاب الرسمي بطريقة ساخرة للكشف عن التناقضات في تطبيق القانون.

تظهر النتائج أن أبرز الاستراتيجيات الخطابية تشمل السخرية السياقية، محاكاة الشخصيات الرسمية، وإعادة توظيف الوسائط الإعلامية. كما أظهرت ردود فعل المستخدمين تنوعًا في التفاعل بين التأييد الفكاهي، والتماهي مع الموقف النقدي، والرفض لاستخدام الفكاهة في قضية جادة.

تؤكد هذه الدراسة أن الفكاهة الرقمية لم تعد مقتصرة على الترفيه فحسب، بل أصبحت وسيلة للنقاش المجتمعي والمشاركة السياسية.

Digital humor plays an increasing role in online communication, navigating between entertainment and social critique. This paper explores how humor is used on social media to comment on and criticize the ban on the abaya in French schools. Based on a corpus of 30 humorous videos (reels) shared on Facebook, this study adopts an interdisciplinary approach combining socio-pragmatic analysis, digital discourse analysis, and sociolinguistics.

The study identifies two dominant registers :

Playful humor, aimed at easing social tensions and fostering online engagement.

Critical humor, which subverts official discourse to highlight perceived contradictions in the enforcement of the law.

Findings reveal that the most recurrent rhetorical strategies include contextual irony, caricature of authority figures, and media détournement. Audience reactions demonstrate a diverse reception, ranging from humorous adherence, activist identification, and rejection of humor as a valid form of debate.

These insights confirm that digital humor extends beyond entertainment, shaping participatory debates and social engagement in online spaces.

Introduction

« La représentation humaine n’est pas seulement représentation de quelque chose : elle est toujours représentation ‘pour quelqu’un’«  (Linard, 1990, p. 23). Dans cette perspective, l’analyse d’un acte énonciatif repose sur le contexte situationnel qui conditionne et oriente la pensée humaine dans son évaluation. L’humour n’échappe pas à cette logique. Outre son aspect ludique, qui reflète une situation susceptible de provoquer le rire, il peut également revêtir une autre dimension (Charaudeau, 2006) : celle d’un outil critique permettant de juger des conditions humaines marquées par des tensions sociétales et des enjeux sensibles.

Lorsqu’ils cherchent à minimiser les effets négatifs de certaines réalités sociales, les individus ont tendance à rechercher un équilibre psychosocial en s’appuyant sur les interactions sociales (Boukhennoufa, 2022). Dans ce contexte, l’humour, phénomène aux définitions variées, est souvent associé à la capacité de provoquer un sourire ou un éclat de rire. Il peut se décliner sous différentes formes, notamment l’ironie, le sarcasme ou l’autodérision. Selon Jean-Marc Moura, l’humour est une modalité de communication qui détourne le sérieux sans pour autant l’annuler complètement. Il crée une tension cognitive entre des éléments contradictoires, générant ainsi une réception plurielle et nuancée.

1. Rire pour résister

Cette contribution se propose de montrer comment l’humour est utilisé comme un prisme discursif permettant de commenter, voire de critiquer, des situations d’actualité controversées. En dépassant sa seule fonction ludique, il devient un outil d’expression sociale et politique, souvent investi d’une visée critique. L’humour ne se limite pas à divertir : il révèle, dénonce et interroge des normes sociétales sous une apparence légère.

En effet, l’humour et l’ironie sont mobilisés comme des stratégies discursives permettant de remettre en cause un comportement ou une situation jugée problématique. Loin d’être anodins, ces jeux énonciatifs visent parfois à provoquer une prise de conscience collective, notamment lorsque l’humour est diffusé via les médias numériques. Dans ce cadre, l’humour devient un espace de transgression contrôlée, où les frontières entre le comique et la critique sociale s’estompent.

L’humour remplit également une fonction sociale essentielle : il facilite les liens interpersonnels et reflète les valeurs d’une communauté. Cependant, son usage soulève des questions éthiques relatives aux limites de l’expression humoristique et aux normes de respect en société. En particulier, dans un contexte de communication numérique, il est intéressant d’analyser comment les mécanismes d’énonciation influencent la réception et l’interprétation de l’humour, en fonction des représentations culturelles et des sensibilités sociales.

Notre recherche s’inscrit dans cette problématique en examinant la réception humoristique d’un fait d’actualité en France : l’interdiction du port de l’abaya à l’école. Plus précisément, nous nous intéressons aux représentations humoristiques diffusées sur les réseaux sociaux, et notamment aux courtes vidéos humoristiques (reels) sur Facebook. Cette étude vise ainsi à comprendre comment l’humour est mobilisé sur les réseaux socionumériques pour juger un comportement perçu comme socialement inacceptable, tout en interrogeant les dynamiques de connivence et d’indignation qui s’y expriment.

Nous nous poserons notamment les questions suivantes :

  • Comment l’humour est-il mobilisé sur les réseaux sociaux pour commenter et critiquer une décision perçue comme controversée ?

  • Dans quelle mesure l’humour permet-il d’exprimer les ressentis d’individus et de défendre un idéal sociétal et humain ?

2. L’humour 2.0 : entre communication numérique et expression critique

L’humour numérique et l’humour dans l’énonciation sont deux concepts interconnectés qui illustrent la manière dont les formes humoristiques s’adaptent aux nouvelles dynamiques sociales et aux évolutions technologiques. À l’ère du numérique, l’humour circule principalement à travers des formats spécifiques, comme les mèmes, GIFs et vidéos courtes, qui permettent une transmission rapide et virale des idées. Ces contenus, souvent visuels et textuels, condensent une critique sociale dans une forme accessible et engageante.

Les mèmes, par exemple, sont des unités culturelles reproduites et modifiées massivement sur Internet. Ils jouent un rôle fondamental dans la diffusion d’un discours humoristique interactif et participatif. Les réseaux sociaux offrent ainsi un espace où l’humour peut être détourné pour commenter l’actualité, dénoncer des injustices ou exprimer un désaccord sociopolitique. Dans ce cadre, l’humour numérique devient un outil critique puissant, oscillant entre le divertissement et la satire sociale.

L’humour joue également un rôle dans la construction d’une identité numérique collective. Par le biais de vidéos virales, de sketches en ligne ou de commentaires humoristiques, il permet de renforcer des communautés et de créer des effets de connivence entre internautes. Des humoristes comme Gad Elmaleh ou Jamel Debbouze, en intégrant des éléments de leur culture locale dans des performances accessibles à un large public, illustrent cette hybridation entre humour traditionnel et nouvelles plateformes numériques.

Enfin, les géants du numérique eux-mêmes exploitent les codes humoristiques pour renforcer leur image de marque et humaniser leurs produits. Par exemple, les assistants vocaux intègrent des répliques humoristiques dans leurs interactions, créant une illusion d’intelligence émotionnelle et de proximité avec l’utilisateur.

Dans cet environnement saturé d’éléments humoristiques, il convient donc de s’interroger sur la dissociation entre humour ludique et humour critique, ainsi que sur les mécanismes énonciatifs qui permettent d’instaurer une distance entre le locuteur et le message humoristique.

3. Méthodologie et analyse : une approche interdisciplinaire de l’humour numérique

Pour analyser la dualité énonciative entre humour et ironie, nous avons adopté une approche interdisciplinaire, combinant l’analyse sémio-pragmatique, la socio-linguistique et l’analyse du discours numérique. Cette méthodologie permet de mettre en lumière les stratégies discursives mobilisées dans la production et la réception de l’humour en ligne.

L’étude porte sur un corpus de courtes vidéos humoristiques (reels) diffusées sur Facebook, en lien avec la controverse autour de l’interdiction du port de l’abaya à l’école en France. Le choix de cette plateforme s’explique par sa large audience et son rôle central dans la diffusion de contenus humoristiques à portée sociale et politique.

3.1. Constitution du corpus

Notre corpus est constitué de 30 vidéos humoristiques sélectionnées sur Facebook, couvrant une période de trois mois suivant l’annonce de l’interdiction du port de l’abaya. Les critères de sélection des vidéos reposent sur :

  • La présence explicite d’un registre humoristique (ironie, satire, sarcasme, autodérision).

  • L’implication du sujet de l’abaya et de la réglementation scolaire française.

  • Le niveau d’engagement du public (nombre de réactions, commentaires et partages).

3.2. Cadre d’analyse

L’analyse des vidéos repose sur deux axes principaux :

  • L’étude des formes d’énonciation humoristique : Nous avons examiné les procédés langagiers et visuels utilisés pour instaurer un double discours, oscillant entre légèreté et critique implicite.

  • La réception du message humoristique : Nous avons analysé les interactions des internautes (commentaires, partages, réactions) pour mesurer le degré d’adhésion, de contestation ou de recontextualisation de l’humour.

Cette approche permet d’observer comment l’humour sert d’outil discursif pour exprimer des points de vue divergents, tout en créant un espace de discussion et de connivence sociale.

4. Résultats, analyse et discussion : entre humour et critique sociale

L’humour est souvent associé à l’ironie, ce qui peut engendrer une confusion entre les deux concepts. Certains auteurs considèrent même que l’un englobe l’autre. Escarpit (1987) souligne ainsi que

« le paradoxe ironique est au cœur même de tout processus humoristique, par la mise en contact soudaine du monde quotidien avec un monde délibérément réduit à l’absurde ».

L’analyse de notre corpus révèle que les vidéos humoristiques examinées oscillent entre deux registres majeurs : un humour ludique, visant à divertir, et un humour critique, portant un regard acerbe sur une décision politique. Cette dualité s’exprime à travers divers procédés discursifs et sémiotiques, que nous avons classés en deux catégories principales.

4.1. L’humour au service du rire : un exutoire collectif

Dans certaines vidéos, l’humour est principalement utilisé pour alléger la tension sociale liée au débat sur l’interdiction de l’abaya. Le but est d’instaurer une connivence avec le spectateur, en tournant en dérision la rigidité perçue des autorités.

Les procédés humoristiques employés incluent :

  • La caricature des figures d’autorité, notamment via des exagérations vocales ou gestuelles.

  • L’absurde et l’inversion des rôles, où des situations décalées mettent en évidence le caractère paradoxal de certaines décisions.

  • Le détournement de discours officiels, sous forme de parodies ou de réinterprétations ironiques.

Exemple illustratif du corpus :

Une vidéo humoristique met en scène un élève fictif arrêté devant l’entrée de l’école en raison de sa tenue. Dialogue :

  • Agent de sécurité : « Désolé jeune homme, mais on ne peut pas te laisser entrer en abaya. »

  • Élève (perplexe) : « Mais… c’est un trench-coat Zara. »

  • Agent : « Ah… Ah bon, d’accord, entre. »

  • Texte en superposition dans la vidéo : « Quand l’idéologie l’emporte sur la logique  ».

Ce sketch humoristique joue sur l’absurde et la feinte naïveté pour dénoncer l’incohérence perçue dans l’application de la règle, soulignant qu’un même vêtement peut être perçu différemment selon son appellation.

Ces vidéos participent ainsi à une forme de catharsis collective, permettant d’exprimer un sentiment de frustration tout en évitant une confrontation directe.

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Source : Capture prise du corpus d’étude

4.2. L’ironie au service de la critique sociale

À l’inverse, d’autres vidéos exploitent l’humour pour dénoncer plus frontalement la décision d’interdire l’abaya. Ici, l’ironie se met au service d’une critique implicite, jouant sur le contraste entre discours officiel et réalité perçue.

Nous avons relevé plusieurs procédés discursifs récurrents :

  • L’ironie contextuelle, où des situations anodines sont mises en parallèle avec la controverse pour en souligner l’incohérence.

  • La feinte naïveté, qui consiste à adopter un ton faussement candide pour questionner l’absurdité d’une décision.

  • La réappropriation des éléments médiatiques, notamment par le biais de montages vidéos détournant des déclarations publiques.

Exemple illustratif du corpus : un reel très partagé reprend une séquence de conférence de presse où un représentant du gouvernement affirme :

« L’école est un espace neutre où aucune expression religieuse n’est tolérée. »

La vidéo juxtapose ensuite des images d’élèves portant des croix ou des accessoires religieux visibles, avec une légende humoristique :

« Quand la neutralité ne concerne que certaines tenues…  »

Ce type de détournement illustre une critique implicite de l’inégalité perçue dans l’application de la loi, en jouant sur le contraste ironique entre le discours officiel et la réalité du terrain.

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Source : Capture prise du corpus d’étude « reel »

4.3. Réception et engagement du public

L’analyse des commentaires et réactions des internautes montre que ces contenus humoristiques suscitent des réponses variées, oscillant entre adhésion, débat et contestation.

Trois tendances se dégagent :

  1. L’adhésion humoristique : certains internautes perçoivent ces vidéos comme une simple distraction, appréciant l’ingéniosité humoristique sans forcément s’engager dans un débat.

  2. Exemple de commentaire : « 😂😂 Trop vrai ! Merci pour cette vidéo, ça fait du bien de rire un peu ! »

  3. L’identification et la connivence : d’autres y voient un moyen d’exprimer leur désaccord avec la politique menée, utilisant ces contenus comme un vecteur de protestation.

  4. Exemple de commentaire : « Exactement ! Ce genre de décisions absurdes méritent d’être pointées du doigt, bravo ! »

  5. La contestation et le rejet : une partie du public critique l’usage de l’humour dans un débat sérieux, considérant qu’il banalise un sujet sociétal important.

  6. Exemple de commentaire : « On ne devrait pas rire de ce sujet, c’est un vrai problème qui mérite un débat sérieux. »

Ces observations confirment que l’humour numérique ne se limite pas au divertissement, mais constitue un espace d’interaction et d’expression politique.

Conclusion

L’humour numérique et l’humour dans l’énonciation sont bien plus que de simples outils de divertissement : ils constituent des modes d’expression sociale et politique puissants, capables de refléter les tensions et dynamiques d’une société.

Notre analyse des reels humoristiques autour de l’interdiction de l’abaya à l’école en France met en lumière le double rôle de l’humour dans le débat public. D’un côté, il sert d’exutoire, favorisant la connivence et l’allégement des tensions sociales. D’un autre, il devient un moyen de contestation, permettant d’exprimer une critique sous couvert de légèreté.

Les différentes stratégies humoristiques observées – caricature, détournement, ironie contextuelle – montrent que l’humour peut être un puissant levier de dénonciation, en mettant en évidence les contradictions perçues dans l’application d’une règle sociale. Le succès viral de certaines vidéos indique que l’humour numérique crée un espace de débat participatif, où l’expression des opinions est facilitée par une approche plus ludique.

L’analyse des commentaires et réactions du public révèle une réception plurielle, entre adhésion, identification et rejet, confirmant que l’humour ne produit jamais un effet uniforme, mais reflète la diversité des sensibilités et des prises de position.

Perspectives de recherche

Cette étude ouvre la voie à plusieurs pistes d’investigation :

  • L’analyse comparative d’autres controverses sociales traitées sous un prisme humoristique sur les réseaux sociaux.

  • L’étude de la diffusion et de l’impact de l’humour politique en ligne, notamment en période électorale.

  • L’évaluation des limites éthiques et juridiques de l’humour numérique, en lien avec les notions de censure et de responsabilité éditoriale.

En définitive, l’humour s’impose comme une forme de communication hybride, oscillant entre légèreté et sérieux, entre connivence et critique, entre adhésion et confrontation.

Boukhennoufa, N. (2022). Figures énonciatives de l’acte humoristique sur les réseaux socio-numériques en contexte de pandémie de Covid-19 : analyse sémio-pragmatique. Revue des Sciences Humaines, 09(03), 254-267.

Charaudeau, P. (2006). Des catégories pour l’humour ? Questions de communication, 2(10), 19-41. https://www.cairn.info/revue-questions-de-communication-2006-2-page-19.htm

Escarpit, R. (1987). L’Humour. Paris : PUF.

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Jullier, L. (n.d.). Vivre ensemble avec des goûts différents. In Qu’est-ce qu’un bon film ? (pp. 45–71). Dunod. https://shs.cairn.info/qu-est-ce-qu-un-bon-film--9782200629878-page-45 ?lang =fr

Linard, M. (1990). Des machines et des hommes. Paris : Éditions universitaires.

Rabatel, A. (2013). Humour et sous-énonciation (vs ironie et sur-énonciation). L’Information grammaticale, 137, 35-42. https://www.researchgate.net/publication/287149059_Humour_et_sous-enonciation_vs_ironie_et_sur-enonciation

Source : Capture prise du corpus d’étude

Source : Capture prise du corpus d’étude « reel »

Rima Aida Hassani

ILLAAC - Université de Khenchela

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